Ayant fui la guerre en Syrie, le pianiste Aeham Ahmad est arrivé en Allemagne où il a reçu le Prix Beethoven pour les Droits de l’Homme, la paix, l’intégration et le combat contre la pauvreté.
Aeham Ahmad avait un rêve, rejoindre l’Allemagne et rejouer du piano : il a réussi à fuir le camp de Yarmouk, en bordure de Damas (Syrie) où il a grandi et vécu jusqu’à ses 27 ans et il est arrivé en Allemagne où il vit maintenant à Giessen et où il attend que sa famille le rejoigne.
Le 18 décembre 2015, le Prix Beethoven était décerné pour la première fois. A travers la musique de Beethoven, je veux attirer l’attention sur ses idéaux, a déclaré Torsten Schreiber, co-fondateur de ce nouveau prix international. J’ai suivi les recommandations du compositeur: faire le bien quand on le peut, aimer la liberté plus que tout et ne jamais renier la vérité, même face à la mort.
La cérémonie s’est déroulée en présence de Martha Argerich et Luisa Imorde.
Les fondateurs du Prix saluent l’action du pianiste au camp de Yarmouk. Pendant des années, dans une ville en ruines, le pianiste installait son instrument dans la rue et jouait pour les habitants du camp. Des vidéos de lui ont fait le tour des réseaux sociaux en 2014, attirant l’attention sur ce musicien hors du commun et sur le camp de réfugiés.
Aeham Ahmad avait un rêve, rejoindre l’Allemagne et rejouer du piano : il a réussi à fuir le camp de Yarmouk, en bordure de Damas (Syrie) où il a grandi et vécu jusqu’à ses 27 ans et il est arrivé en Allemagne où il vit maintenant à Giessen et où il attend que sa famille le rejoigne.
Le 18 décembre 2015, le Prix Beethoven était décerné pour la première fois. A travers la musique de Beethoven, je veux attirer l’attention sur ses idéaux, a déclaré Torsten Schreiber, co-fondateur de ce nouveau prix international. J’ai suivi les recommandations du compositeur: faire le bien quand on le peut, aimer la liberté plus que tout et ne jamais renier la vérité, même face à la mort.
La cérémonie s’est déroulée en présence de Martha Argerich et Luisa Imorde.
Les fondateurs du Prix saluent l’action du pianiste au camp de Yarmouk. Pendant des années, dans une ville en ruines, le pianiste installait son instrument dans la rue et jouait pour les habitants du camp. Des vidéos de lui ont fait le tour des réseaux sociaux en 2014, attirant l’attention sur ce musicien hors du commun et sur le camp de réfugiés.
Le pianiste turc Fazil Say
est le second musicien à recevoir ce prix. Il recevra sa récompense,
assortie d’une somme de 10 000 euros, lors d’une cérémonie organisée à
Bonn le 17 décembre 2016 par l’Académie Beethoven.
Selon les organisateurs, Fazil Say a été récompensé pour sa musique et ses actions qui « favorisent le rapprochement entre l’Orient et l’Occident, la Turquie et l’Europe ». Condamné en 2013 à dix mois de prison avec sursis à Istanbul pour « insulte envers les valeurs religieuses », l’artiste a finalement été définitivement acquitté en septembre dernier.
Selon les organisateurs, Fazil Say a été récompensé pour sa musique et ses actions qui « favorisent le rapprochement entre l’Orient et l’Occident, la Turquie et l’Europe ». Condamné en 2013 à dix mois de prison avec sursis à Istanbul pour « insulte envers les valeurs religieuses », l’artiste a finalement été définitivement acquitté en septembre dernier.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire