Ce clavier compte deux séries de touches accordées en tons entiers. L'une avec les notes do ré mi fa# sol# la# et l'autre avec les notes do# ré# fa sol la si. Une troisième série, répétition de la première, vient compléter cet ensemble pour permettre une plus grande virtuosité.
Le clavier uniforme
de Janko (1856-1919)
représente un solution fort intéressante qui n'a pas réussi à s'imposer à temps
pour le piano mais qui demeure possible pour l'accordéon.
Ce clavier est constitué de deux rangs de touches à intervalle de 1 ton (ou seconde majeur)
Comme on peut voir sur l’illustration, le troisième rang de touches est une copie du premier rang, les touches étant, bien sûr, égales dans les trois rangs.
Ce clavier est constitué de deux rangs de touches à intervalle de 1 ton (ou seconde majeur)
Comme on peut voir sur l’illustration, le troisième rang de touches est une copie du premier rang, les touches étant, bien sûr, égales dans les trois rangs.
Alors que le clavier du piano favorise la gamme de Do, le Clavier uniforme est ainsi organisé que le doigté est exactement le même dans les douze tons, rendant possible l’avantage énorme de la transposition automatique.
Chaque type d’accord a sa propre position alors que sur le piano le doigté pour un type d’accord est souvent identique avec celui d’un autre type, ajoutant à la confusion.
Sur le clavier uniforme, l'empan d'une octave est plus court que sur le clavier de piano mais plus large que sur le clavier chromatique qui, plus que tout autre, permet d'avoir une très large étendue sur un clavier relativement court.
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